Epurer, soustraire, enlever

C’est le commentaire d’André sur Calligraphie qui m’y fait songer, voici ce que lire des haïkus me procure :

Rien du tout

si ce n’est calme de l’âme

et fraicheur de l’air

Kobayashi Issa (1763-1827)

J’ai trouvé la fin de semaine dernière un recueil fort bien fait en livre de poche que je recommande aux profanes comme moi : L’art du haïku, pour une philosophie de l’instant. Textes présentés par Vincent Brochard et Pascale Senk.